Die Tageszeiten. Dekorationen für den großen Saal im Palais Pereire.
Einen guten Eindruck des Sammler und Mäzen Émile Pereire gibt eine Anekdote, die Eugène de Mirecourt in seiner Biographie des Malers Paul Delaroche erzählt: "Eines Tages, als  Delaroche das Portrait Pereires malte, sagte er zu ihm: Ich beglückwünsche Sie zu dem Luxus, den man in Ihrem Haus sieht. Offensichtlich verdienen Sie sich eine goldene Nase. Wozu aber all der Luxus und Reichtum, wenn das Gefühl für die Kunst fehlt? Sie ahnen gar nicht, wie viel unerkannte Talente Sie mit Ihrem Reichtum unterstützen könnten. Dies beeindruckte den reichen Investor. Einige Tage später besuchte er den Künstler und sagte ihm: Sie haben recht, mein Freund. Reichtum verpflichtet. Von heute an stelle ich Ihnen jährlich 50.000 Franc zur Verfügung. Sie können damit Bilder nach Ihrem Gutdünken kaufen und selbst den Preis bestimmen."

 

Les Heures, décoration du salon à l'hôtel Pereire. Eugène de Mirecourt donne dans sa biographie de Paul Delaroche cette anecdote sympathique à propos de Emile Pereire:

"Un jour, Delaroche faisait le portrait de Pereire:
-Je vous félicite, lui dit il, sur le luxe qui se déploie dans votre hôtel. Vous gagnez, on le voit, des montagnes d'or. Mais, sans le goût des arts, à quoi bon toute cette richesse? Vous ne savez pas combien de talents inconnus vous pourriez protéger et servir.
Cette réflexion du grand artiste frappe le financier.
Deux jour après il arrive chez Delaroche.
-Vous avez raison, mon ami, dit-il, fortune oblige. À dater d'aujourd'hui, je mets une somme annuelle de cinquante mille francs à votre disposition. Vous commanderez les tableaux vous-même et vous en fixerez le prix.
À la bonne heure! .."