Typisches Arbeitszeugnis, wie es sich in jeder Portraitistenwerkstatt
befunden haben dürfte:
Abklatsch einer Kohlevorzeichnung, zur weiteren Verwendung gegriffelt (oder
mit Metallstift durchgezeichnet) und teils mit Kreide übergangen. Solche Arbeitsmaterialien
sind nicht dekorativ, daher meist nicht bewahrt worden. Sie wirken regelmäßig
stilistisch anders als "normale" Zeichnungen derselben Hand. Es gibt von Stieler
nichts sonst Vergleichbares. Die Zuschreibung an ihn (oder einen Werkstattmitarbeiter
der späten Jahre) bleibt also zunächst unsicher. Ein ausgeführtes korrespondierendes
Portrait konnte bisher nicht nachgewiesen werden. Das Blatt trägt zwar einen
"Nachlassstempel Joseph Stieler", der sonst aber anscheinend unbekannt ist.
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Cette feuille et les deux suivantes sont difficile
à classer. Elles portent une marque de succession qui les lie à Stieler, mais
qui est uniquement utilisée ici.
Il ne s'agit pas d'un dessin à proprement
parler, mais d'une contre-épreuve avec traces d'une copie ultérieure sur un
autre support à l'aide d'une pointe de métal. Ces caractéristiques justifient
la classification comme carton ou matrice pour une future reproduction. Des
telles feuilles ont toujours un aspect différent des dessins ordinaires d'un
artiste.
Dans ce cas-ci, on n'a pas encore pu trouver une peinture correspondante.
L'attribution à Stieler (ou un membre de son atelier pendant les dernières
années de son activité - le fils Max?) reste encore en suspense.
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