Fine Kaulbach, jüngste Schwester Wilhelms. Das unsignierte Blatt ist eine Besonderheit in Kaulbachs Werk. Die fehlende karikaturhafte Schärfe erklärt sich aus dem besonderen Verhältnis zum Modell. Die Attribution wäre kaum glaubhaft, wenn sie sich nicht auf eine lückenlose Familientradition stützte. Das Blatt stammt aus der Sammlung Heinrich Stinnes. Stinnes hat auf dem Passepartout notiert, dass es aus dem Besitz der anderen Schwester Kaulbachs, Karoline, verheiratete Leonhard, stamme. Zu dieser hatte er wiederum engste Beziehungen, war sie doch die Grossmutter seiner eigenen Ehefrau.
Am 31.7.1846 war Kaulbach zu Gast bei Stinnes in Mülheim, "wo eine Flasche Champagner nach der anderen ausgestochen wurde".
Die Provenienz sichert also die Zeichnung für Kaulbach. Bei der aktuellen Datenlage bleibt lediglich die Frage der Zuschreibung an Wilhelm oder Friedrich, der zur Endstehungszeit bereits in München im Kreis seines Vetters verkehrte.

 

(Jose)Phine Kaulbach, sœur cadette de Wilhelm von Kaulbach.
Cette œuvre est comme un corps étranger parmi les dessins de Kaulbach, fait qui s'explique facilement par la relation particulière entre le peintre et son modèle. Le modèle y est rendu avec tendresse. Il manque l'habituelle distance qui va chez Kaulbach souvent jusqu'à la caricature (voir le portrait du roi Louis) L'attribution serait à peine crédible ... si elle ne venait pas de la famille même. De redécouverte récente, la feuille porte la marque du grand collectionneur Heinrich Stinnes, mais elle occupait une place bien à part dans sa collection: Il s'agit en fait d'un souvenir de famille. Stinnes avait épousé sa cousine. Celle-ci, née Gretchen Leonhard, était en même temps petite-nièce du modèle et du peintre.
Kaulbach se souvenait dans une lettre à sa femme d'une soirée chez Stinnes, le 31 juillet 1846, pendant laquelle le champagne coulait à flots.
Bien que l'attribution du dessin à un Kaulbach ne fasse guère de doute, on peut se demander si il revient à Wilhelm ou à Friedrich jeune.