Laut Wurzbach (Steinle, ein Madonnenmaler) stammt ein Entwurf seines eigenen Wappens von 1852. Dieses Phantasiegebilde (rechts das Wappen der Malergilde) wäre kaum glaubhaft, wenn nicht der Sohn in seinem Werkverzeichnis eine Variante von 1880 abgebildet hätte.   Rare exemple d'une création pour les arts appliqués chez Steinle. Ici, son propre blason, un brin fantaisiste et guère crédible sans une autre version publiée par le fils et biographe de l'artiste, Alphons Maria von Steinle.