Gut honorierte Illustrationsentwürfe zu aufwendigen Klassikerausgaben sind ein wichtiger Bestandteil Kaulbachs Tätigkeit. Er nimmt sie ernst und bereitet sie ähnlich gründlich wie seine großen Gemälde mit umfangreichen Detailstudien vor. Nicht zuletzt hat er Spaß an dieser Form des Fabulierens, wie das obige Beispiel zeigt: Es sind Skizzen zu seiner bekanntesten Illustration, nämlich zu Goethes Reineke Fuchs.  Kaulbach hat die Komposition etwas gleichzeitig auch für das Märchen vom Zwergenkönig Worzel und seinem Kampf mit den Ratten verwendet, das er nur zur Unterhaltung seiner eigenen Kinder schrieb und zeichnete, beides persifliert Eduard Bendemanns Trauernde Juden im Exil. Übrigens ist Bendemanns Bild fast gleichzeitig auch eine Zielscheibe seltenen Spotts von Eduard von Steinle.
1847 greift Adolph Schrödter auf Kaulbachs Reineke zurück für eine der bekanntesten Düsseldorfer Revolutionskarikaturen. Derselbe Schrödter war übrigens bereits 1832 kaum weniger erbarmungslos mit einer eigenen Persiflage auf Bendemann.

 

Les illustrations de la littérature deviennent une part importante de sa production et de ses revenus. Il s'agit d'une activité secondaire que Kaulbach, en bon professionnel, prends quand même très au sérieux. Il en prépare soigneusement les moindres détails.
Ici, assemblage d'idées pour son illustration littéraire la plus connue, pour le  Reineke Fuchs de Goethe, en même temps persiflage du chef-d'œuvre de Eduard Bendemann, La captivité des juifs à Babylone. Il n'est d'ailleurs pas le seul à s'en prendre à ce symbole de l'art larmoyant de Düsseldorf.. En dessinateur économe, il profite de cette invention pour un conte de fée qu'il a lui-même écrit et dessiné pour ses propres enfants, La lutte de Worzel, roi des nains, avec le roi des rats, Fitzliratzi.
Peu après, Adolph Schrödter de Düsseldorf se réfère à Kaulbach et son renard pour une des plus célèbres caricatures de la révolution de 1848, le même Schrödter qui, quelques années plus tôt, s'était déjà payé l'art de Bendemann.