Photomechanische Reproduktion des Bildes.

Ausgerechnet Cabanel, berühmt für seine opulenten akademischen weiblichen Akte, lieferte eine der keuschesten Versionen des Themas.
Üblicherweise dient die Geschichte von Tarquinius und Lukretia als Vorwand, weibliche Nacktheit und sexuelle Gewalt in historischem Mäntelchen verpackt zu servieren.
Hier nichts von alledem, die folgende Vergewaltigung ist nur als vage Bedrohung für den zu ahnen, der den Titel des Bildes kennt.

 

Photogravure de la peinture, autrefois collection Hauk ou Hawk - États unis d'Amérique. Envoi de l'artiste au Salon de 1877

Réalisation assez insolite du sujet, surtout de la part d'un artiste qui reste célèbre pour ces nus féminins. Ici, Cabanel a mis l'accent sur la menace qui reste encore dans le flou, pas sur la scène du viol - souvent prétexte à l'étalage d'un corps nu.