Jetzt Wilhelm Camphausen zugeschrieben,
vormals wohl noch von Karl Koetschau aufgrund seiner Qualität an Alfred Rethel gegeben worden, dann seit einer letzten Publikation  im Katalog der Sammlung Lisshauer 1968 verschollen.
Komplexe Allegorie der Paradoxien im Leben des Peter von Cornelius und nicht zuletzt im gesamten Kunstbetrieb des19. Jahrhunderts. Als junger Mann hatte sich Peter von Cornelius im "Kampf gegen den Zopf", Symbol der in Traditionen erstarrten Kunstakademien, hervorgetan. Später wurde er selbst in mehreren Funktionen, als Liebling selbstherrlicher Monarchen, als ephemerer Direktor der Kunstakademien in Düsseldorf und München, zum typischen Vertreter eben jener Traditionen.
Hier taucht er als Don Quichotte auf, als  Zeichen des "Sieges" einen Zopf auf seiner Lanze, dem Zeichenstift. Gleichzeitig scheint er jedoch dem Inneren des Berges rechts im Hintergrund entstiegen zu sein, gleich Barbarossa dem Kyffhäuser, um mit der Malerei im Schlepptau Deutschland zu "neuem Leben" zu erwecken. Der aktuelle Anlass dürfte der Aufbruch oder besser die Flucht aus München in den goldenen Vorruhestand am preußischen Hof in Berlin gewesen sein.
Die ambivalente Gestalt des Cornelius, sein vorgeblicher  "Kampf gegen den Zopf", war Gegenstand mehrerer Darstellungen: Die bekannteste ist sicher die, die Wilhelm von Kaulbach etwas später auf der Fassade der Neuen Pinakothek in München realisiert hatte. Müller von Königswinter plante noch in den 60er Jahren einen Aufsatz über Cornelius mit dem Titel "Zopf und Genie" (nicht ausgeführt).
  Attribué à Wilhelm Camphausen (autrefois attribué à Alfred Rethel, par Karl Koetschau).
Le dessin est tout un symbole de l’acharnement du 19ème siècle : Chaque génération d’artistes s’en prend à la précédente jusqu’à l’anéantissement de celle-ci.
Caricature de Peter von Cornelius en Don Quichotte qui mène le combat contre ses ancêtres, académiciens et autres porteurs de perruque, dont il emporte une comme une trophée sur sa lance- porte-crayon. L’allégorie a encore un autre sens. Cornelius emporte la Peinture avec lui, sortant des profondeurs d’une montagne pour sauver l’Allemagne tel l’empereur Barberousse du Kyffhäuser en Thuringe selon la vielle légende allemande.
Il s’agit certainement de l’œuvre d’un artiste de la jeune génération autour de 1840 qui se moque ainsi du vieux Cornelius qui marchait d’échec en échec, de l’abandon du directorat de l’académie de Düsseldorf, en passant par celui du directorat de l’académie de Munich, jusqu’à son sauvetage in extremis par le roi Fréderic Guillaume de Prusse qui lui avait offert une retraite dorée près sa cour.
De redécouverte récente, attribué  par Karl Koetschau à Alfred Rethel et disparu depuis sa dernière publication en 1968, le dessin revient plutôt à Wilhelm Camphausen.
Le combat de Cornelius jeune contre le traditionalisme des académies était un lieu commun. Wolfgang Müller von Königswinter, chroniqueur de l’école de Düsseldorf, avait le projet (non réalisé) d’un essai sur Cornelius sous le titre La perruque et le génie. La version, la plus célèbre, fut la peinture de Wilhelm von Kaulbach, partie de sa frise sur la façade de la pinacothèque de Munich.