Die Künstler der Düsseldorfer Akademie hatten in der ersten Jahrhunderthälfte eine herausragende Stellung im deutschen Kunstleben. Düsseldorf pflegte eine gründliche Technik, es gab (in den Augen vieler allerdings zu wenig) Spielraum für die neuen selbstständigen Malkategorien der Landschaft und des bürgerlichen Genre. Gegenseitige Befruchtung brachte der Kontakt mit dem Schauspiel (Immermann) - nicht immer zum Vorteil einer gelegentlich übertrieben  wirkenden Inszenierung.

Die vorliegende Auswahl geht auf einen Nachlass zurück, der Zeichnungen der zweiten Generation Düsseldorfer Künstler enthielt, vornehmlich aus dem Freundeskreis des Josef Fay.

Nach dem großen Vorbild des jährlichen Pariser Salon wurden regelmäßig Ausstellungen veranstaltet. Die kleinen Broschüren, die bei dieser Gelegenheit gedruckt wurden, geben einen netten Überblick über die Schulproduktion.

La petite Académie de province de Düsseldorf avait toutefois un rôle dominant dans le développement du romanticisme vers le réalisme en Allemagne. Elle attirait des élevés de tous les coins du monde, surtout des pays scandinaves et de l'Amérique du nord. Il y avait assez tôt des branches « paysage » et « genre », parfois avec un sens politique prononcé. La force de l’école, une mise en scène calquée sur le modèle du théâtre, en désignait également les limites. Son directeur, Wilhelm von Schadow, entretenait d’excellents rapports avec le pouvoir central à Berlin et ses représentants sur place. À l'apogée de sa gloire, des marchands diffusaient les produits de l'école dans des galeries spécialisées aux Etats-unis – comme la maison Goupil pour la France. La présente sélection comprend la succession d’un artiste, essentiellement des dessins de l’artiste Josef Fay et  de ses amis de la deuxième génération de l’école de Düsseldorf.

À l'instar des Salon parisiens, on organisait des expositions annuelles. Leurs livrets donnent un aperçu représentatif de la production de l'école.