Nach dem Revolutionsfragment von 1848 hat sich Fay wie viele andere Düsseldorfer Künstlerkollegen von der politisch belegten Historienmalerei zurückgezogen oder zurückziehen müssen. Jedenfalls hat er während des langen restlichen Lebens nur noch in der Nachfolge seines berühmteren Schwagers Oswald Achenbach im italienisierenden Genre und gelegentlich als Innenarchitekt gearbeitet.

Josef Fay de Cologne/Rhénanie était peintre d’histoire jusqu’en 1848. Ce fragment de révolution en Allemagne avait bouleversé sa vie comme celle de beaucoup d’autres peintres de l’école de Düsseldorf. Ils étaient souvent engagés du coté des opposants au régime.
De l’époque d’avant révolution n’ont survécu que peut de choses, quasi complètement présentes sur ses pages.
Il y a plusieurs dessins préparatoires pour son chef d’œuvre, les peintures à fresque dans l’ancien hôtel de ville de Elberfeld, aujourd’hui Musée municipal «Von der Heydt» de Wuppertal.
C’étaient les cartons pour cette commande qui lui avaient valu une médaille 3ème classe à Paris et .....l’honneur d’une longue critique –plutôt favorable- par Charles Baudelaire dans son «Salon de 1845». Fay avait profité de son passage à l’atelier de Paul Delaroche pour les exposés au Salon des beaux-arts.
Cette critique de Baudelaire mérite un petit détour:
Elle est pour l’instant la seule preuve, que Baudelaire ait jamais vu un original de l’école allemande, de laquelle il a pourtant ébauché le fragment d’un récit (L’art romantique).