Die Wallfahrt zum Heiligen Rock nach Trier.
Vorzeichnung zu einer Lithographie anlässlich der Wallfahrt von 1844. Wolfgang Müller von Königswinter zitiert diese Komposition als beispielhaft für Clasens Begabung für die Arabeske.
Im Gegensatz zu den Karikaturen der Gegner dieser Wallfahrt, die immer wieder publiziert werden, führen die Zeugnisse der katholischen Seite ein Schattendasein. Dieses Beispiel der Volksfrömmigkeit war eine leichte Beute für die so genannten Intellektuellen.  Der heilige Rock, angeblich von der Jungfrau Maria selbst in einem einzigen Exemplar ohne Nähte für ihren Sohn gefertigt, soll von der Kaiserin Helena gestiftet worden sein. Das Gewebe stammt immerhin möglicherweise aus der Zeit der Stifterin, teilt aber seine fromme Geschichte mit zahlreichen weiteren "einzigen" hl. Röcken. In der damaligen Auseinandersetzung zwischen der neuen preussischen Zentralgewalt und dem Altkatholizismus im Rheinland wurde die Wallfahrt von beiden Seiten politisch instrumentalisiert. Über die angeblich fortschrittliche Haltung des ultraliberalen prostestantisch-kapitalistischen Preussen wären auch die "Terroristen" der damaligen Zeit zu befragen, unsere heute als führende deutsche Denker und Dichter gerühmten Landsleute, die zahlreich im Exil in Paris, London, der Schweiz und anderswo auf bessere Zeiten warteten.

 

Dessin préparatoire à une lithographie de 1844:
Le pèlerinage à la Sainte Tunique de Trèves
Rare témoignage du coté catholique de cet événement. Nombreuses caricatures de la part des opposants subsistent et sont souvent répétées dans des publications récentes. Cette tunique est une proie facile pour le non-catholiques: dite unique et faite par la vierge Marie en personne, elle existe en diverses exemplaires partout dans le monde. Celle de Trèves a le mérite d'être de la fin de l'antiquité, presque de l'époque de sa donatrice présumée, Sainte Hélène.
Le pèlerinage fut par les catholiques interprété comme un rassemblement du peuple contre la Prusse protestante. À l'époque, le nouveau pouvoir prussien avait tenté de réduire l'influence du catholicisme dans sa nouvelle province, la Rhénanie de tradition  catholique. Quelques intellectuels de l'époque sont tombé dans le piège posé par la Prusse. Elle se présenta comme la lumière contre l'obscurité de la superstition. En vérité, juste l'opposition  d'un catholicisme traditionnel et d'un protestantisme capitaliste. Les nombreuses exilés de la Prusse d'alors sont des témoins de cette "lumière" prussienne.

Wolfgang Müller von Königswinter, chroniquer de l'école de Düsseldorf, fut séduit par cette composition. Il la cite comme exemple du sens de l'arabesque chez Clasen