"Rudolph von Habsburg überlässt sein Pferd einem
Priester, der mit dem Allerheiligsten auf unwegsamem Gelände zu einer
Krankenölung will."
Carl Clasen scheint fast besessen von diesem Thema gewesen zu sein und
modifiziert es immer wieder. Der Grund dürfte wohl weniger in Schillers
Ballade liegen, als darin, dass er hier an den Kern seiner katholischen
Überzeugung rührt.
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Rodolphe,
comte de Habsbourg, rencontrant à la campagne un curé qui portait le saint
viatique à un malade par des chemins très mauvais, lui donna son cheval
e accompagna le Saint Sacrement à pied.
Clasen semble être obsédé par cette vieille légende que un poème de
Friedrich Schiller venait de sauver de l'oubli. Pendant toute sa carrière,
il cherchait des solutions plus appropriées à ce thème, d'une valeur
hautement symbolique dans une Rhénanie catholique qui se heurtait toujours
plus au nouveau pouvoir prussien, de majorité protestante. |