Die romantische Legende von Chodowiecki, der direkt nach der Natur auf die Kupferplatte gezeichnet habe, hat eine Menge Anhänger. Unter anderem sei die Radierung des Lesenden Jungen (E 36) so entstanden (nach Bauer/Wormsbächer und zuletzt Bernt 2013).
Man hat dabei offensichtlich diese seit 1912 wiederholt publizierte Vorzeichnung im Gegensinn nicht gekannt. Sie scheint ursprünglich als eigenständige Arbeit geplant zu sein, ist jedenfalls auf Pergament und dennoch für die Übertragung auf die Kupferplatte gegriffelt - ein schweißtreibender Kraftakt.
Die Nummerierung stimmt zwar mit der des posthumen Engelmannverzeichnisses überein, ist aber zeitgenössisch und ein Relikt von Chodowieckis Projekt, selbst ein Verzeichnis seiner Radierungen zu erstellen. Auf diese Familienüberlieferung konnte sich das Verzeichnis von Jacoby 1808 stützen. Es enthält dementsprechend den obigen romantisierenden Irrtum nicht.

  Daniel Nikolaus Chodowiecki, dessin de 1764 et préparatoire à une eau-forte (porte sur la liste des gravures de l'artiste publiée par Engelmann le numéro 36).

Ce dessin, à plusieurs reprises publié, contredit une autre légende romantique qui se trouve jusqu'à une date très récente dans la littérature (p.ex.. chez Bauer/Wormsbächer et dernièrement chez Bernt en 2013): Chodowiecki se serait mis avec une telle vigueur au suivi de la nature qu'il aurait gravé ce garçonnet directement sur la plaque de cuivre. Le dessin est incisé, signe claire du transfert sur un autre support, à l'évidence le cuivre.
La numérotation est de la famille, les premières indices que Chodowiecki avait l'intention de faire publier lui-même  son œuvre gravé (cette liste familiale fut la base de celle de Engelmann).