Musée Condé, Chantilly, Inv. NA 81
Man könnte fast glauben, Jules Janin, der bekannte Kunstkritiker habe diese Zeichnungsgruppe gekannt, so nahe kommt er in einer Kritik aus dem Jahre 1839 der genannten Einschätzung S. Banns. Zitat nach L'Artiste, 2. Serie, 2.Bd, p.216:
"...Delaroche zieht die Massen im Louvre an [bei den jährlichen Salons - den Kunstausstellungen], wo sie sich wie zu Gratis-Theateraufführung drängeln. Was dramatische Gefühle und szenographische Vorstellungen angeht, muss Delaroche weit vor Victor Hugo, weit vor Alexandre Dumas, weit vor all unseren berühmten Stückeschreibern genannt werden. ... Wer gäbe nicht all die Schlussszenen von Alexandre Dumas für seine Ermordung des Herzogs von Guise, den sich Heinrich der Dritte aus sicherer Distanz versteckt hinter einem Vorgang anschaut ohne den Mut, sich dem furchterregenden Leichnam zu nähern?..."

             

La ressemblance entre L'Assassinat du Duc de Guise et la dramaturgie dans les pièces de Dumas n’est pas échappée à la vigilance des contemporains avertis : Jules Janin écrit en 1839 (dans L’Artiste, 2ème série, tome2, p.216) :
« … M. Paul Delaroche attire la foule au Louvre, où la foule se rend avec le même empressement qu’à un spectacle gratis. M. Paul Delaroche, en fait d’émotions dramatiques, et comme entente scénique, doit passer bien avant M. Victor Hugo, bien avant M. Alexandre Dumas, bien avant nos plus célèbres faiseurs de mélodrames. … Qui ne donnerait tous les derniers actes de M. Alexandre Dumas, pour le Duc de Guise assassiné, que le roi Henri III caché derrière la porte, vient voir de loin et sans oser approcher de ce terrible cadavre ? ... ».

Voilà un argument fort en faveur de l’interprétation de Stephen Bann (voir page principale). Cette comparaison de Janin est d'ailleurs à elle seul capable d’expliquer le jugement plutôt négatif que Dumas nous donne de Delaroche dans ses mémoires.