König Karl der Neunte.
Delaroche arbeitete 1836 für die Bühnenausstattung
von Meyerbeers "Hugenotten", vielleicht ist dieses Blatt eine Vorarbeit zu
diesem Vorhaben. Das Motiv steht in engstem Zusammenhang mit einer
Lithographie von Achille
Devéria.
Im Übrigen sind zeitgenössische Quellen und Beweise eher dürftig: Indirekt
könnte die intensive entsprechende Aktivität seines engsten Freundes Eugène
Lami ein Hinweis sein. Eine Zeichnung Delaroche gibt z.B. recht exakt eine
Kostümlithographie Lami's wieder (aus seiner Serie zu einem Maskenball der
Herzogin von Berry, die Quadrille der Maria Stuart, wo die Regie und
Planung von einem Profi, Duponchel, geführt worden war).
Delaroche soll das Bühnenbild zum Schlußakt in Halevy's Ballett La Tentation
gemacht haben. Schließlich gibt es noch einen eher versteckten Hinweis
auf eigene Kostümentwerfertätigkeit, wieder im Zusammenhang mit der
Epoche Karl des Neunten und der Religionskriege. Die Herzogin von Dino schreibt
in ihren Erinnerungen an das Jahr 1841 (in der Beschreibung eines Maskenballs
beim König):"...Ich habe vergessen, Herrn und Frau von Chabannes zu erwähnen.
Sie als Hofdame Karl des Neunten; ihr Kostüm, nach ihrer Behauptung von Paul
Delaroche entworfen, war vollkommen exakt und zeitgerecht, und es machte sie
ebenso vollkommen hässlich..." (Dino hatte sich schon an anderer Stelle
darüber geäußert, dass sie solche historisierend exakten Outfits unvorteilhaft
fände, z.B. über die Herzogin von Berry als Maria Stuart, siehe oben).
Delaroche dürfte jedenfalls im Freundeskreis und zusammen
mit Eugen Lami Kostüme entworfen haben:
"Mademoiselle Anaïs
[Anaïs Aubert, intime Freundin von Paul Delaroche in den 30ern und Schauspielerin],
wie immer aufs sorgfältigste und exquisit (um mit Molière und Madame de Sevigne
zu sprechen) zurecht gemacht, trug an diesem Tag ein phantastisches
Kostüm, das Delaroche und Lami für sie entworfen hatten: Kleid aus weißem
Moiré, leichtes Oberteil mit Aufschlägen aus rotem Velours, goldene Knopfreihe,
flaches Hütchen nach Art der griechischen Frauen - mit feinen Goldarabesken
geziert - kess aufs Haupt gesetzt, Goldtressen, die über beide Schultern herabfielen."
(nach E. Thierry, Briefe über die Comédie-française, in
France littéraire, Paris 1841)
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Charles IX.
En 1836, Paul Delaroche créa les costumes pour l'opéra
"Les Huguenots" de Giacomo Meyerbeer. Il s'agit probablement d'une étude
préliminaire à ce projet, peut-être par l'intermédiaire d'une
lithographie de Achille
Devéria.
Il reste encore à éclairer jusqu’où Delaroche s’est vraiment mêlé dans la
création pour le théâtre. Mis à part son amitié avec Eugène Lami -très actif
dans ce domain-, lesdits Les Huguenots,
le décor pour le cinquième acte de la
Tentation de Halevy, les sources contemporaines sont rares. Il y a la
ressemblance entre un de ses dessins et un costume pour un bal masque, le
fameux Quadrille de Marie Stuart,
organisé par un collaborateur de la Comédie française à l’instigation de la
duchesse de Berry en 1829, et … un mot dans les mémoires de la duchesse de
Dino, peu connu (tome III, 1841-1850, 3. Ed., p.36) – à propos d’un bal chez
la famille royale en 1841, elle y parle des invités:
« … J’ai oublié de vous citer M. et Mme de Chabannes; elle, en dame de
la cour de Charles IX; son costume, dessiné, disait-elle, par Paul Delaroche,
était parfaitement exact et rigoureux, et la rendait parfaitement laide...
»
Il y avait aussi l'amitié notoire entre Paul Delaroche, Eugène Lami et une
actrice, Mademoiselle
Anaïs Aubert. Les deux artistes ont contribué à mettre en valeur leur
amie: "Mlle Anaïs, toujours ajustée avec le soin le plus parfait, la propreté
la plus exquise, pour parler de langage de Molière et de Mme de Sévigné, avait
mis ce jour-là, le délicieux costume de fantaisie que lui ont dessiné Eugène
Lami et Paul Delaroche: robe discrète de moire blanc, svelte corsage à revers
de velours rouge, et brandebourgs d'or, légère toque plate coquettement posée
sur les cheveux, dans la forme des femmes grecques, avec le fond brodé d'un
réseau précieux de fines arabesques d'or, et un double gland d'or descendant
au bord de l'épaule. .. L'auteur du Roi s'amuse, académicien de la
veille, applaudissait de sa loge à ce talent si pur et si précis, qui lui
inspirait sans doute en ce moment de nouveaux détails de rôle pour sa future
comédie. .." ( E. Thierry, Simples lettres sur la Comédie-Française,
20.1.1841, dans France littéraire; Paris 1841 - nouvelle
série - deuxième année, tome IV)
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