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Vielleicht ist diese Zeichnung früh und stellt eine Vorstufe zum "Strafford" dar. Stephen Bann hat auf den religiösen Charakter des Motivs hingewiesen, er nennt es den Verkündigungscharakter, den er bei Delaroches immer wieder findet. Bisher blieb in der Literatur unerwähnt, dass Delaroche eine
zeitgenössische Arbeit ganz ähnlichen Motives gekannt haben muss: Auch "Maria Stuart in Erwartung des Exekutionskommando" von Jacques Philippe Bree, das sich seit seiner Ausstellung im Salon von 1819 im Louvre befindet, dürfte ihm kaum unbekannt gewesen sein. |
Dessin qui a éventuellement précédé
le fameux «Strafford».
L’aspect annonciateur , remarqué par Stephen Bann, se trouve également dans
ce dessin-ci. Victor Schnetz, son aîné de 10 ans, était actif au Louvre – dans la même salle, celle des Séances, et au même moment que lui. Delaroche fit son «Mort du président Duranti», Schnetz un «Le consul Boetius recevant les adieux de sa fille et de son petit-fils». La confrontation avec un dessin de Schnetz est particulièrement révélatrice. Il y a - toujours au Louvre - depuis son exposition au Salon de 1819 une peinture de Jacques Philippe Bree «Marie Stuart dans l'attente d'être conduite au supplice»
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