Auf den ersten Blick eine unprätentiöse Beobachtung. Allerdings
findet man die gleiche gespielt bequeme unnatürliche Haltung in einem von
Delaroches späten Hauptwerken.
In dieser Haltung spiegelt sich die ganze Doppeldeutigkeit einer
Serie von Bildern, in der er in
den 40er und 50er Jahren die Rolle der Frau reflektiert - bedrohlich,
unschuldig, unterwürfig, dominierend oder patrizid - siehe Beatrice Cenci.
Es ist bereits darauf hingewiesen worden, dass Delaroche in
diesem Spätwerke Aspekte des Symbolismus behandelt.
In dieser kleinen Zeichnung wie in der
"Jungen Frau
im Becken" (erste Version von 1844, im posthumen Photowerk
von Bingham dokumentiert) sind die Stäbe wie das Bassin doppeldeutig - schützend
und offerierend.
Dieses Motiv gibt im Übrigen weiter Rätsel auf, sein verborgener Sinn hat
zu zahlreichen Entschlüsselungsvorschlägen geführt - wohl sinnbildhaft für
die Mehrschichtigkeit von Delaroches Spätwerk. Vorgeschlagen wurden u.a.
Sappho und Louise Vernet - die Frau des Künstlers, wobei weder
weitere Versionen,
in denen ein geflügeltes kindliches Wesen, das dazu steigt, noch
kleine Reliefs an der umgebenden Mauer
berücksichtigt worden sind.
Man könnte glauben, dass die unschuldige kleine Zeichnung
im Zentrum von Delaroches Spätwerk stehe.
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Dans ce petit dessin qui semble représenter
une scène vue dans la rue, furtif et privé de toute prétention, on trouve
une jeune femme dans une position aussi impossible que de fausse commodité.
Ce feint manque de ambition se trahi soudainement dans la confrontation avec
une des œuvres majeures
de Delaroche’s dernières années – essentiellement la même position!
Dans cette pose s’entrevoit toute l’ambiguïté d’un ensemble des peintures,
en quelque sorte la quintessence de son œuvre des années 40 et 50. Delaroche
crée une série des peintures dont
le rôle principal revient à la femme.
Je ne suis pas le premier à insister sur le rôle précurseur aux idées symbolistes
dans cette série – la femme, innocente, menaçante, émasculinatrice, soumise.
Ici, comme dans « la fille à la
vasque » (première version de 1844, photo de Bingham), les barreaux
et la vasque servent à la fois de protection et de présentation. Ce
sens multiforme se reflète aussi bien dans des diverses tentatives
d'explication de sa signification (Sappho, la femme de l'artiste -
explications qui n'ont même pas encore pris en compte
un enfant ailé
clairement visible dans plusieurs versions dessinées au Louvre).
En somme, ce petit dessin se situe au centre de la préoccupation
des dernières années de l’activité de Delaroche.
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