Gleiche Technik, gleiche Art zu monogrammieren, wie das andere Blatt in Berlin 1856 entstanden.
Hier eine Karikatur der realistischen Strömung.
Aufschrift: Die Poesie bittet um Einlass. Maler: "Entschuldigen Sie, ich kann Sie nicht brauchen, ich habe Modell."
Sowohl Konrad Dielitz als auch Eduard Grützner berichten von einer Karikatur auf Piloty mit exakt demselben Text. Ihre Beschreibung passt aber nicht: Nach Dielitz war die Poesie unbekleidet, Piloty nicht mit einem weiblichen Modell, sondern dabei, einen Kürassierstiefel zu malen. Nach Grützner sei die Poesie von Hunden attackiert worden.
Zu allem Überfluss hat der Maler hier keine Ähnlichkeit mit Piloty. Haben sich die Zeugen schlecht erinnert? Oder war Kaulbach klug genug, eine zweite entschärfte und weniger persönliche Attacke auf den Realismus zu machen?
  Autre dessin par Kaulbach, en série avec la caricature du jeune graveur (fait la mémé année, 1856, à Berlin, technique et dimensions identiques, monogrammé de la même manière).
Également caricature d’artiste, ici un adhérent du courant réaliste. Il refuse à la Poésie, accompagnée du Pégase, l’entrée à l’atelier sous prétexte de travailler d’après le modèle. Selon les témoignages de deux artistes contemporains, Eduard Grützner et Konrad Dielitz, Kaulbach aurait fait une caricature de Piloty avec exactement le même commentaire. Seul Dielitz donne une description précise de la feuille Piloty : la Poésie aurait été une belle femme nue, et Piloty aurait copié une botte de soldat. Selon Grützner, la Poésie aurait été attaquée par des chiens. À l’évidence, la feuille ne correspond pas à la description de la caricature Piloty (d’ailleurs pas de ressemblance entre Piloty et l’artiste actif sur la feuille).
Kaulbach, a-t-il transformé la caricature provocatrice face à une réaction indignée du publique en allégorie moins personnelle? Ou s’agit-il simplement d’une erreur de la part des témoins ?