Diese drei Minidarstellungen sind klar Abfolgen aus einem Handlungsablauf
- Vorläufer des modernen Comic oder des Kino. Der Grundriss oben gibt die
Position der Akteure im Raum wieder - wie in einer Regieanweisung im Theater.
Der Künstler disponiert wie ein Regisseur. Delaroche hat sich dieser Vorgehensweise
öfter bedient. Die umfangreichste Serie ist Szenen aus dem Leben des im Wahnsinn
endenden französischen Königs Karl des Sechsten gewidmet (Louvre-Paris).
Es gibt noch zahlreiche weitere Verbindungen zwischen Delaroche und dem Theater.
So ist überliefert, dass er sich für wichtige Bildkompositionen von Bühnenbildnern
dreidimensionale "Bühnenmodelle" hat bauen lassen, die dann mit Wachsfigürchen
bevölkert wurden. So etwas könnte der obigen Zeichnung zugrunde gelegen haben.
Das Motiv bleibt noch zu klären: Sicher eine Szene Ende 16. Jahrhundert, vielleicht
aus den Religionskriegen in Frankreich. Es gibt Frauen in aufgewühlten Posen,
ein Bett, ein Fenster, durch das jemand schaut. Einiges passt zum Ende des
Admirals Coligny in der Bartholomäusnacht, aber auch zu dem von
Brion, dem Erzieher des Prinzen Conti (zu
einem weiteren Vorschlag, siehe folgende Seite).
|
|
Ces trois scènes représentent une série,
clairement le même événement légèrement espacé dans le temps. En somme, il
s’agit d’un ancêtre spirituel de la bande dessinée. Le petit plan de la pièce
en haut lie l’ensemble au procédé scénographique du théâtre. L’artiste agit
en metteur en scène.
Il y a de Paul Delaroche plusieurs suites comparables, la plus complète sur
la vie et la folie de Charles VI au cabinet de dessins au Louvre.
Ce n’est pas le seul lien entre Delaroche et la mise en scène au théâtre:
Des nombreux témoignages contemporains attestent son habitude de se faire
fabriquer des maquettes tridimensionnelles par les professionnelles du théâtre
pour la préparation de ses tableaux.
Le sens de la scène reste encore énigmatique : Il y a un lit au centre, il
y a des hommes armés, il y a des femmes en deuil ou en désespoir, il y a une
fenêtre par laquelle on regarde. Les costumes sont compatibles avec l’époque
des guerres fratricides de la fin du 16ème: S’il s’agissait de la fin de l’amiral
de Coligny ou de L'assassinat de Brion
(autre suggestion voir page suivante)?
|