"Samson, Dalila und die Philister", um 1837
Die eigentümliche Begrenzung dieses Blattes verbindet es mit den Entwürfen für die Rheineck. Die Komposition ist dort aber nicht umgesetzt worden. Das Blatt bestätigt jedoch Bemerkungen im Briefwechsel von Steinle und dem Auftraggeber, dass gerade die Umsetzung des Themas "Selig die hungern und dürsten nach Gerechtigkeit" Gegenstand kontroverser Diskussion war. Steinle hatte zunächst auch "Mathathias stürzt über die Götzenanbeter" vorgeschlagen. Es gab  noch weitere Alternativen, so hat  Köller 1954 eine Komposition "Christus und die Söhne des Zebedäus" mit der Rheineck in Verbindung gebracht
Ähnlich wie der "Barmherzige Samariter" (siehe nächste Seite) ist auch der "Samson" eine Wiederaufnahme einer Erfindung, die bereits mehrere Jahre früher entstanden war. Eine aktuell verschollene Bleistiftzeichnung der von den Nazis enteigneten Sammlung "Michael Berolzheimer" hat vielleicht dieser ersten Invention von 1831-32  entsprochen (zu Berolzheimer siehe www.lostart.de (Suchargument "Samson Berolzheimer"). Der Frauentyp der Dalila wird viel später fast identisch ein weiteres Mal genutzt, als "Loreley" für den Grafen Schack.

 

Samson et Délila, vers 1837.
La composition dans plusieurs demi-cercles appartient clairement au group de dessins pour la Rheineck: Cette nouvelle découverte confirme la vive discussion entre le commanditaire des fresques e l'artiste, précisément au sujet de l'illustration du "heureux ceux qui ont  faim et soif de la justice" de laquelle parlent les lettres des deux.

Comme pour la composition suivante, Steinle a probablement repris une invention du début des années trente. Un dessin à la mine de plombe figurait sur le catalogue de la vente après décès de l'artiste, et plus tard dans la collection Berolzheimer (volée par l'état Nazi en 1937 et dispersé dans une vente à Munich en 1939; pour plus d'information voir www.lostart.de , chercher "Samson Berolzheimer"), de localisation actuelle inconnue. Plus tard, il a recours à cette invention, Délila sert de modèle à sa Lorelei, femme non moins redoutable, commande du comte Schack de 1864.
La similitude de deux femmes qui relativise l'originalité de la Lorelei est probablement la raison pour laquelle cette belle feuille ne figurait pas dans les expositions et les ventes après la mort de l'artiste.